dimanche 4 septembre 2016

Funiculaire de INVADERDZ (hyperlyrics)

 PLEKK écrit à 4 plumes (Sabeer, Béhybé, S.kaa, Hofusk)

Le regard fixé vers ma galaxie, me dit que le succès, j’y ai pas accès,
Qu’à cela ne tienne,
Faut que j’arrête le laxisme
Remercie ceux qui m’assistent
Mais l’adulescent doit faire ses lacets /
S’éclipser… des règles que l’on assène
Pour me faire une idée
Voir le monde de ma nacelle,
Où ma ceinture n’est plus clipsée
Le soleil m’allume
de ses rayons rectilignes, Un funambule en équilibre
sur un fil tendu /
Entre la Terre et la Lune
Notre astre a entendu les râles de mon cadavre
Corps vide entouré à la craie de la marelle sous l’orbite vide de la macrâle
Lorsque la peine est ma marraine que l’avenir est à l’orage
30 ans que mon vaisseau est amarré /
REFRAIN
Nos terres s’éloignent au chant des sirènes qui se cachent
Nos mains témoignent de l’âpreté de nos tâches
Le cordon ombilical ………..s’est rompu
Le cor..beau médical s’est trompé.

Au taf, ils me vilipendent, du haut de la butte de leur mini clan
Leur but ridicule, que des replicants tandis que je m’inocule des récits de Clamp
Au bout du funiculaire, des lunariens m’observent de leurs oculaires
Tout ça ne mène à rien, qu’ils s’occupent de leurs
Ménopause et viagra, j’ai trop de proses pour leur diagramme
Le ballet rose n’est pas de Mya Frye
Ne laisse que ronces dans le diaphragme
Je ne trouve plus les pièces du puzzle… trop grand
Je n’ai pas de réponses mais j’appuie sur le buzzer… gros plan 
sur le faiseurs de frontières…
dépose le chrome sur nos racines capillaires, le gréement vacille capitaine,…
rassit  nos épidermes, assit nos principes, et ainsi réduit l’être
se résume en six lettres (argent), combat la cellullite et amasse les cellulaires
il crie « laissez le libre », regard de glace derrière ses lunettes
un spasme accru, on ne se cache plus, vais-je le voir naitre ?
mon chéri, mini moi quand ma self estime est au minima,
6 milliards 7 d’êtres similaires, aimerais faire partie de ceux qui s’humilièrent
En vivant comme Hanks dans Big
 On avait tant de but en tête, adulte, en fait, un tas de stress dans le bide
D’insultes  anglaises, BIATCH, on se déteste sans le dire
Le Corbeau médical s’est trompé,
Les piles s’épuisant,  les rires se réduisant
 Neverland  est tombé
le vice surgissant, la miss rugissant
un 26 décembre, un timbre dans les cendres
et une famille à combler

Nos terres s’éloignent au chant des sirènes qui se cachent
Nos mains témoignent de l’âpreté de nos tâches

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