Voici la cypher #5 du 12 mars 2016 organisée par Alerte Urbaine dans le cadre des évènements OPEN STAGE.
Avec les vniz Oslo (Division Ruina), Mr Clasik, Masta Pi (ex-OPAK), Tar One (Dope Skwad, Dope ADN) et Béhybé (INVADERDZ)
Plekk de Béhybé :
"Pieds sur la terre ferme, éternel conflit entre matière et pensée, intellect qu'on laisse au vestiaire, tout est condensé. Les nouvelles sont chaudes mais me laissent tièdes. Pauvres en contenu, saugrenues, elles me laissent bièsse, hébété. Entrain de végéter devant un JT, oubliant ce que j'étais, je les vois têter à la bibine, se demandant comment je n'ai jamais été pété. So clean, mes paupières clignent, c'est mon esprit qui presse F5, c'est peut-être dingue mais rien a changé. Ce qui m'était connu m'est étranger, rien de plus ringard que d'être branché, #toutlemondeenparle, veut s'épancher, ton carnet intime est publique, tu n'es plus pudique. Un selfie du pubis et c'est le vide. Tu sais, quand le plancher se dérobe, sérotonine en trop plein, comme Tony (Soprano) sur le divan, hédoniste se trompant, devenant la boniche du consumérisme. Ils ont conçu le mérite, l'ont nommé Capital. Osef les capitons quand l'image nous a décapité..."
Avec les vniz Oslo (Division Ruina), Mr Clasik, Masta Pi (ex-OPAK), Tar One (Dope Skwad, Dope ADN) et Béhybé (INVADERDZ)
Plekk de Béhybé :
"Pieds sur la terre ferme, éternel conflit entre matière et pensée, intellect qu'on laisse au vestiaire, tout est condensé. Les nouvelles sont chaudes mais me laissent tièdes. Pauvres en contenu, saugrenues, elles me laissent bièsse, hébété. Entrain de végéter devant un JT, oubliant ce que j'étais, je les vois têter à la bibine, se demandant comment je n'ai jamais été pété. So clean, mes paupières clignent, c'est mon esprit qui presse F5, c'est peut-être dingue mais rien a changé. Ce qui m'était connu m'est étranger, rien de plus ringard que d'être branché, #toutlemondeenparle, veut s'épancher, ton carnet intime est publique, tu n'es plus pudique. Un selfie du pubis et c'est le vide. Tu sais, quand le plancher se dérobe, sérotonine en trop plein, comme Tony (Soprano) sur le divan, hédoniste se trompant, devenant la boniche du consumérisme. Ils ont conçu le mérite, l'ont nommé Capital. Osef les capitons quand l'image nous a décapité..."
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