SKAA (intro)
Vni, une vie inefficace
Les portes se ferment, la flemme te freine, les frais, le cul de sac est inévitable
Zdred, en scred se crée des secrets, regrets. On se crève sous stress
Invaderdz, le temps s'égraine, on le soustrait. Dans l'impasse, il y a la "laideurdz"
BEHYBE
Vos lettres de refus, je ne sais plus où les mettre
Peut-être sous les verres de cokes entre autres détritus, vu, saoulé
De faire le panneau du forem, en panoramique admire vos règles
Écrites en minuscule, à lintérim ? on mémascule
Toutes vos études me mènent à ce cul de sac, pas dans ma peau que je sache
Je rap dans ma piaule, clashe la télé, crache sur le clavier, sur le gravier
La drache, vous n'entravez que dalle à nos flash, anormalité devient règle
Un homme alité devient deg', sans boulot, c'est comme sans bras
J'aime la vie comme Sandra mais je la gâche comme Raito, sans beito
Pas question de se lever tôt, le ghetto est mental, précieux sont les métaux,
Ya comme un caillou dans ma sandale,
Je demande un temps d'arrêt, mes tentatives se perdent dans mes lettres de motiv'
De grands dadets me bloquent la route, on me dit tout est dans ta tête,
Woldi (mon fils), un jour le temps te rappelle, que les pauses au fond tu sais les prendre après
REFRAIN
Je traîne, je rêve, en bref je baisse les bras
Car jai le moral à ras du sol
On me presse, on me teste, puis on me laisse à peine le choix
LE MORAL A RAS DU SOL
SABEER
Et quoi maintenant ? Tu retournes ta veste ? Et toi maintenant ?
Et demain, c'est les restes. Les rapports sont tendus. Est-ce que les skeuds sont vendus ?
Fils de quoi ? J'ai pas entendu. A chaque clash, un malentendu
Le rap, c'est des kilomètres en bus pour cracher des plekks inattendus
Avec la "neige", tu te sens fort ? Un grand homme prend forme
Dès que tu te réveilles, tu te rendors. Tu veux te pendre ? Tiens vlà une corde
A chacun son rêve, son hiver, son remake, son remède à son mal être. Sorry mec, c'est la crise alors vends ta vie sur Ebay
On rentabilise sous les nappes, sous les grappes, les braves baissent les bras
Vexé, frustré, on en vit mal, les gens sont exécrables
Clair que je déconne, à chaque duj' décolle, génération picole , picore tes "eins" si tu me suces dans les jocks (toilettes) de l'école
Oiiiin, c'est dur la vie, les études, les parents sacrifient les thunes, les murs se putréfient. Dans la cave, sa drogue.
File droit vers d'autres blocs, je tire une taffe, les laisse, ils s’affaissent et s'atrophient. Stressé par les coups de fils, je chôme, j'rappe,
Mamie trouve ça trop triste
REFRAIN
HOFUSK
garder vos pièces et vos monnaies,
' suis qu'un tiers passionné un pensionné
qui veux la sieste sur vos sommets
C'e monde une comédie pour ceux qui pensent,
une tragédie pour ceux qui sentent.
paie mes quittances, nourrit mon impertinence
les calls me fatigue, regrette mes choix, l'école, la mise en pratique
et je deviens statique.
l'age me rend zen comme shiva, mais rentre en scene le clivage
j'en saigne d'être fiché sous activa
Je crois upl a vos discours,
rêve d'etre sup et plus l'agent qui s' couvre
m'enfuir avec la recette du discount
Michel préfère son verre rouge au postulat
vert de argg la cohue en bas, heures de pointe, et bousculade
les postulades? ,la cause du mal, marche en segment,
t'sais les trèfles se planquent dans les rainures de ciment
Vni, une vie inefficace
Les portes se ferment, la flemme te freine, les frais, le cul de sac est inévitable
Zdred, en scred se crée des secrets, regrets. On se crève sous stress
Invaderdz, le temps s'égraine, on le soustrait. Dans l'impasse, il y a la "laideurdz"
BEHYBE
Vos lettres de refus, je ne sais plus où les mettre
Peut-être sous les verres de cokes entre autres détritus, vu, saoulé
De faire le panneau du forem, en panoramique admire vos règles
Écrites en minuscule, à lintérim ? on mémascule
Toutes vos études me mènent à ce cul de sac, pas dans ma peau que je sache
Je rap dans ma piaule, clashe la télé, crache sur le clavier, sur le gravier
La drache, vous n'entravez que dalle à nos flash, anormalité devient règle
Un homme alité devient deg', sans boulot, c'est comme sans bras
J'aime la vie comme Sandra mais je la gâche comme Raito, sans beito
Pas question de se lever tôt, le ghetto est mental, précieux sont les métaux,
Ya comme un caillou dans ma sandale,
Je demande un temps d'arrêt, mes tentatives se perdent dans mes lettres de motiv'
De grands dadets me bloquent la route, on me dit tout est dans ta tête,
Woldi (mon fils), un jour le temps te rappelle, que les pauses au fond tu sais les prendre après
REFRAIN
Je traîne, je rêve, en bref je baisse les bras
Car jai le moral à ras du sol
On me presse, on me teste, puis on me laisse à peine le choix
LE MORAL A RAS DU SOL
SABEER
Et quoi maintenant ? Tu retournes ta veste ? Et toi maintenant ?
Et demain, c'est les restes. Les rapports sont tendus. Est-ce que les skeuds sont vendus ?
Fils de quoi ? J'ai pas entendu. A chaque clash, un malentendu
Le rap, c'est des kilomètres en bus pour cracher des plekks inattendus
Avec la "neige", tu te sens fort ? Un grand homme prend forme
Dès que tu te réveilles, tu te rendors. Tu veux te pendre ? Tiens vlà une corde
A chacun son rêve, son hiver, son remake, son remède à son mal être. Sorry mec, c'est la crise alors vends ta vie sur Ebay
On rentabilise sous les nappes, sous les grappes, les braves baissent les bras
Vexé, frustré, on en vit mal, les gens sont exécrables
Clair que je déconne, à chaque duj' décolle, génération picole , picore tes "eins" si tu me suces dans les jocks (toilettes) de l'école
Oiiiin, c'est dur la vie, les études, les parents sacrifient les thunes, les murs se putréfient. Dans la cave, sa drogue.
File droit vers d'autres blocs, je tire une taffe, les laisse, ils s’affaissent et s'atrophient. Stressé par les coups de fils, je chôme, j'rappe,
Mamie trouve ça trop triste
REFRAIN
HOFUSK
garder vos pièces et vos monnaies,
' suis qu'un tiers passionné un pensionné
qui veux la sieste sur vos sommets
C'e monde une comédie pour ceux qui pensent,
une tragédie pour ceux qui sentent.
paie mes quittances, nourrit mon impertinence
les calls me fatigue, regrette mes choix, l'école, la mise en pratique
et je deviens statique.
l'age me rend zen comme shiva, mais rentre en scene le clivage
j'en saigne d'être fiché sous activa
Je crois upl a vos discours,
rêve d'etre sup et plus l'agent qui s' couvre
m'enfuir avec la recette du discount
Michel préfère son verre rouge au postulat
vert de argg la cohue en bas, heures de pointe, et bousculade
les postulades? ,la cause du mal, marche en segment,
t'sais les trèfles se planquent dans les rainures de ciment
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